Aujourd’hui le secteur automobile représente 6% des émissions GES dans le monde. Dans ces émissions, l’automobile rejette des particules fines, particulièrement nocives pour la santé et l’environnement. Réduire la quantité de ces particules dans l’air est aujourd’hui l’une des priorités et dans cet article nous découvrirons comment l’entreprise Tallano Technologies s’attaque de manière innovante à ces particules nocives !
Les particules fines, kezako ?
Il est toujours bon de savoir de quoi l’on parle n’est-ce pas ? Les particules fines, également connues sous le nom de particules en suspension ou PM (du terme anglais « Particulate Matter »), sont de petites particules solides ou liquides présentes dans l’air ambiant. Elles sont caractérisées par leur taille, qui varie en fonction de leur diamètre aérodynamique. Les particules fines se subdivisent en différentes catégories en fonction de leur taille, parmi lesquelles les PM10 (particules ayant un diamètre aérodynamique inférieur ou égal à 10 micromètres) et les PM2,5 (particules ayant un diamètre aérodynamique inférieur ou égal à 2,5 micromètres)
Ces particules peuvent avoir diverses origines, telles que les émissions des véhicules, notre sujet de jour mais aussi des processus industriels, la combustion de combustibles, les feux de forêt, l’usure des pneus et des freins, la construction, et d’autres activités humaines. Elles peuvent également être générées par des phénomènes naturels, comme les éruptions volcaniques et les tempêtes de sable (et oui parfois la nature ne nous facilite pas la tâche !)
En raison de leur petite taille, les particules fines peuvent rester en suspension dans l’air pendant de longues périodes et être transportées sur de grandes distances par les courants atmosphériques. Lorsqu’elles sont inhalées par les humains et les animaux, ces particules peuvent pénétrer profondément dans les poumons et même atteindre la circulation sanguine, entraînant ainsi des problèmes de santé tels que des maladies respiratoires, des maladies cardiovasculaires, et d’autres effets néfastes sur la santé.
Les particules fines peuvent également nuire à l’environnement de différentes manières. Lorsqu’elles sont en suspension dans l’air, elles peuvent contribuer à la formation de smog (pollution atmosphérique nuisible à la santé humaine et à la végétation). Lorsqu’elles se déposent au sol ou dans l’eau, elles peuvent avoir des effets néfastes sur les écosystèmes, notamment en affectant la croissance des plantes, la qualité de l’eau et la vie aquatique. Elles favorisent également l’effet de serre à cause de leur capacité à absorber la lumière du soleil.
Réduire les émissions de particules fines en s’attaquant au système de freinage ?
C’est la promesse de Tallano Technologies ! Découverte par les équipes de Sopht à l’occasion de Viva Technology. Fondée en 2012 par Christophe Rocca-Serra, la CleanTech s’attaque aux particules fines en se spécialisant sur le système de freinage. Environ 80 % des émissions de particules fines provenant des véhicules ne sont pas comptabilisées par la réglementation en vigueur. En cause, la non prise en compte de celles émises par les systèmes de freinage ! En effet, un pot d’échappement émettrait 4,5MG/km de particules fines contre 30MG/km pour le système de freinage.
Comment ça marche ?
TAMIC®, l’innovation de Tallano Tecgnologies a été conçu pour accompagner l’industrie automobile dans sa transformation. L’innovation permet de capturer les particules fines émises par le système de freinage de n’importe quel véhicule, lourd ou léger, thermique ou électrique. Cette innovation de rupture se compose d’un système électronique de contrôle, d’aspiration et de filtration qui retient à la source les particules fines, évitant ainsi leur dispersion dans l’air. Universel et facile d’usage, aucune maintenance n’est nécessaire, en dehors du remplacement du filtre tous les deux ans ou tous les 30 000 km. Testé depuis de nombreuses années, en laboratoire et en conditions réelles, dans toutes les situations qu’un véhicule peut rencontrer (température, taux d’humidité, vitesse…), il a déjà convaincu des équipementiers et des systémiers. L’entreprise met d’ailleurs en avant un taux d’efficacité exceptionnel de 90% !
On vous conseille de regarder la vidéo explicative du produit pour en apprendre plus sur la technologie !
Chez Sopht, nous développons une plateforme qui permet aux organisations IT de piloter de manière dynamique leur empreinte environnementale et d’automatiser leur trajectoire de décarbonation. Notre plateforme est bâtie sur une série de modules qui reconstitue l’ensemble de la chaine de valeur IT d’une entreprise (monitoring multi-cloud, pilotage des assets IT, analyse des usages et services numériques etc.) permettant ainsi une vision et pilotage de bout en bout.
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Aujourd’hui le secteur automobile représente 6% des émissions GES dans le monde. Dans ces émissions, l’automobile rejette des particules fines, particulièrement nocives pour la santé et l’environnement. Réduire la quantité de ces particules dans l’air est aujourd’hui l’une des priorités et dans cet article nous découvrirons comment l’entreprise Tallano Technologies s’attaque de manière innovante à ces particules nocives !
Les particules fines, kezako ?
Il est toujours bon de savoir de quoi l’on parle n’est-ce pas ? Les particules fines, également connues sous le nom de particules en suspension ou PM (du terme anglais « Particulate Matter »), sont de petites particules solides ou liquides présentes dans l’air ambiant. Elles sont caractérisées par leur taille, qui varie en fonction de leur diamètre aérodynamique. Les particules fines se subdivisent en différentes catégories en fonction de leur taille, parmi lesquelles les PM10 (particules ayant un diamètre aérodynamique inférieur ou égal à 10 micromètres) et les PM2,5 (particules ayant un diamètre aérodynamique inférieur ou égal à 2,5 micromètres)
Ces particules peuvent avoir diverses origines, telles que les émissions des véhicules, notre sujet de jour mais aussi des processus industriels, la combustion de combustibles, les feux de forêt, l’usure des pneus et des freins, la construction, et d’autres activités humaines. Elles peuvent également être générées par des phénomènes naturels, comme les éruptions volcaniques et les tempêtes de sable (et oui parfois la nature ne nous facilite pas la tâche !)
En raison de leur petite taille, les particules fines peuvent rester en suspension dans l’air pendant de longues périodes et être transportées sur de grandes distances par les courants atmosphériques. Lorsqu’elles sont inhalées par les humains et les animaux, ces particules peuvent pénétrer profondément dans les poumons et même atteindre la circulation sanguine, entraînant ainsi des problèmes de santé tels que des maladies respiratoires, des maladies cardiovasculaires, et d’autres effets néfastes sur la santé.
Les particules fines peuvent également nuire à l’environnement de différentes manières. Lorsqu’elles sont en suspension dans l’air, elles peuvent contribuer à la formation de smog (pollution atmosphérique nuisible à la santé humaine et à la végétation). Lorsqu’elles se déposent au sol ou dans l’eau, elles peuvent avoir des effets néfastes sur les écosystèmes, notamment en affectant la croissance des plantes, la qualité de l’eau et la vie aquatique. Elles favorisent également l’effet de serre à cause de leur capacité à absorber la lumière du soleil.
Réduire les émissions de particules fines en s’attaquant au système de freinage ?
C’est la promesse de Tallano Technologies ! Découverte par les équipes de Sopht à l’occasion de Viva Technology. Fondée en 2012 par Christophe Rocca-Serra, la CleanTech s’attaque aux particules fines en se spécialisant sur le système de freinage. Environ 80 % des émissions de particules fines provenant des véhicules ne sont pas comptabilisées par la réglementation en vigueur. En cause, la non prise en compte de celles émises par les systèmes de freinage ! En effet, un pot d’échappement émettrait 4,5MG/km de particules fines contre 30MG/km pour le système de freinage.
Comment ça marche ?
TAMIC®, l’innovation de Tallano Tecgnologies a été conçu pour accompagner l’industrie automobile dans sa transformation. L’innovation permet de capturer les particules fines émises par le système de freinage de n’importe quel véhicule, lourd ou léger, thermique ou électrique. Cette innovation de rupture se compose d’un système électronique de contrôle, d’aspiration et de filtration qui retient à la source les particules fines, évitant ainsi leur dispersion dans l’air. Universel et facile d’usage, aucune maintenance n’est nécessaire, en dehors du remplacement du filtre tous les deux ans ou tous les 30 000 km. Testé depuis de nombreuses années, en laboratoire et en conditions réelles, dans toutes les situations qu’un véhicule peut rencontrer (température, taux d’humidité, vitesse…), il a déjà convaincu des équipementiers et des systémiers. L’entreprise met d’ailleurs en avant un taux d’efficacité exceptionnel de 90% !
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