Chez Sopht, nous avons toujours cru qu’il était impossible de changer ce qu’on ne mesure pas et encore moins d’améliorer ce qu’on ne reconnaît pas.
C’est pourquoi, pour la deuxième année consécutive, nous partageons en toute transparence les résultats de notre bilan carbone 2024.
Pourquoi continuer à mesurer ?
Faire son bilan carbone une fois, c’est un bon début.
Le faire chaque année, c’est s’assurer que la croissance d’une entreprise ne se fait pas au détriment de la planète.
Pour nous, cet exercice n’est pas une formalité, mais un outil de pilotage essentiel : il nous permet de comprendre où se concentrent nos émissions, d’identifier nos leviers de réduction, de rester cohérents avec notre mission.
C’est aussi une façon d’être transparents avec nos clients, pour qu’ils sachent quel est leur propre impact en utilisant notre solution.
Les résultats 2024 en quelques chiffres
Notre empreinte carbone globale s’élève à 99 tonnes de CO₂eq, soit une hausse de 61 % par rapport à 2023.
Une augmentation logique dans un contexte de forte croissance : +33 % d’effectifs et +121 % de chiffre d’affaires.
Mais au-delà de la hausse globale, plusieurs indicateurs montrent que nous grandissons de manière plus responsable :
- 6 % d’émissions par employé, soit 1 tonne de CO₂eq de moins par personne
- 68 % d’émissions liées aux activités numériques des employés (emails, stockage, visioconférences, etc.)
- Les achats de services numériques représentent cependant 49 % de notre empreinte totale, soit près de 48,5 tonnes de CO₂eq, en hausse de 56 %, un signal fort sur lequel nous concentrerons nos efforts.
Ce que ces chiffres nous apprennent
Grandir tout en réduisant son intensité carbone est un défi de taille, mais c’est précisément là que la démarche prend tout son sens.
Ces résultats nous rappellent deux choses importantes :
- Le numérique n’est jamais immatériel.
- La performance environnementale se joue dans la façon dont on utilise nos ressources.
Et maintenant ?
Ce deuxième bilan carbone n’est pas une fin en soi, mais une étape de progression.
Nous travaillons déjà sur des actions concrètes : réduction de l’empreinte de nos services numériques, intégration de critères bas carbone dans nos achats, et renforcement de la formation de nos équipes aux pratiques durables.
Chez Sopht, nous ne voulons pas être ces cordonniers mal chaussés du numérique responsable.
Notre ambition est d’ appliquer à nous-mêmes les principes que nous défendons et continuer à montrer qu’une autre voie est possible : celle d’un numérique mesuré, transparent et réellement durable.
Partagez cet article sur vos réseaux
Chez Sopht, nous avons toujours cru qu’il était impossible de changer ce qu’on ne mesure pas et encore moins d’améliorer ce qu’on ne reconnaît pas.
C’est pourquoi, pour la deuxième année consécutive, nous partageons en toute transparence les résultats de notre bilan carbone 2024.
Pourquoi continuer à mesurer ?
Faire son bilan carbone une fois, c’est un bon début.
Le faire chaque année, c’est s’assurer que la croissance d’une entreprise ne se fait pas au détriment de la planète.
Pour nous, cet exercice n’est pas une formalité, mais un outil de pilotage essentiel : il nous permet de comprendre où se concentrent nos émissions, d’identifier nos leviers de réduction, de rester cohérents avec notre mission.
C’est aussi une façon d’être transparents avec nos clients, pour qu’ils sachent quel est leur propre impact en utilisant notre solution.
Les résultats 2024 en quelques chiffres
Notre empreinte carbone globale s’élève à 99 tonnes de CO₂eq, soit une hausse de 61 % par rapport à 2023.
Une augmentation logique dans un contexte de forte croissance : +33 % d’effectifs et +121 % de chiffre d’affaires.
Mais au-delà de la hausse globale, plusieurs indicateurs montrent que nous grandissons de manière plus responsable :
- 6 % d’émissions par employé, soit 1 tonne de CO₂eq de moins par personne
- 68 % d’émissions liées aux activités numériques des employés (emails, stockage, visioconférences, etc.)
- Les achats de services numériques représentent cependant 49 % de notre empreinte totale, soit près de 48,5 tonnes de CO₂eq, en hausse de 56 %, un signal fort sur lequel nous concentrerons nos efforts.
Ce que ces chiffres nous apprennent
Grandir tout en réduisant son intensité carbone est un défi de taille, mais c’est précisément là que la démarche prend tout son sens.
Ces résultats nous rappellent deux choses importantes :
- Le numérique n’est jamais immatériel.
- La performance environnementale se joue dans la façon dont on utilise nos ressources.
Et maintenant ?
Ce deuxième bilan carbone n’est pas une fin en soi, mais une étape de progression.
Nous travaillons déjà sur des actions concrètes : réduction de l’empreinte de nos services numériques, intégration de critères bas carbone dans nos achats, et renforcement de la formation de nos équipes aux pratiques durables.
Chez Sopht, nous ne voulons pas être ces cordonniers mal chaussés du numérique responsable.
Notre ambition est d’ appliquer à nous-mêmes les principes que nous défendons et continuer à montrer qu’une autre voie est possible : celle d’un numérique mesuré, transparent et réellement durable.

